Une histoire longue de 4 décennies
Planter des noyers, une idée folle ? Pas vraiment, ma petite exploitation ne permettant pas de faire « comme les grands », j’ai planté, dès 1982, quelques 1150 noyers greffés. L’élevage ovin m’a aidé à passer la longue attente de rentrée en production des noyers. Maintenant, les deux productions se complémentent dans un système harmonieux d’agroforesterie fruitière, aux atouts écologiques multiples et scientifiquement prouvés.
MA PHILOSOPHIE
Planter des arbres pour espérer en tirer un jour un avantage, c’est avoir une vision au long et au très long terme, une vision qui nous dépasse. Apprenons à observer et à écouter les arbres. Ils sont un modèle de générosité, de solidarité et de pérennité.
DE LA PLANTATION AUX PREMIÈRES RÉCOLTES
La plantation doit être faite avec soin, avec des noyers de préférence greffés. Elle est suivie de soins annuels : tailles de formation, limitation de la concurrence, protections contre les bêtes, fumure organique. Après une douzaine d’années seulement, on peut espérer récolter des noix. La quantité de la récolte augmente avec l’âge des noyers.
RÉCOLTE ET CONDITIONNEMENT
Le ramassage des noix, manuel au début, a été mécanisé ensuite. La récolte s’étale sur environ 3 semaines, pendant lesquelles nous ramassons les noix au moins 2 fois par semaine. Elles sont ensuite lavées, séchées selon les règles de l’art, calibrées, ensachées ou transformées en huile.
DE LA TRANSFORMATION AUX PRODUITS FINIS
Après leur séchage et leur calibrage une partie des noix est réservée à la production d’huile. Les noix sont cassées, énoisées, triées et pressées à froid. L’huile décante ensuite naturellement et est mise en bouteilles. Les noix les plus grosses sont ensachées pour la vente de noix en coque.
Vente sur place
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